Plateforme PAGODA
Responsable scientifique : Philippe Lamarre
Responsable technique : Olivier Mbarek
Comité scientifique : Armand Baboli, Emmanuel Coquery, Philippe Lamarre, Jean-Marc Petit, Romain Vuillemot
Comité technique : Françoise Conil, Eric Lombardi, Olivier Mbarek
PAGODA (Platform for Advanced GOvernance of DAta) est une Plateforme de gestion des données et de leurs traitements pour des expérimentations numériques.
La plateforme regroupe actuellement:
- Deux salles d'expérimentation et d'acquisition de données
- AMIGO
Salle dédiée à l'analyse de données massives de trajectoires issues de différentes sources de données : simulation numérique, GPS, flux vidéos, capteurs de mouvement.
- SMART PRODUCTION
Salle proposant une mini-usine reconfigurable qui permet d'expérimenter, d'étudier et de développer des méthodes et des outils innovants et intelligents pour l'optimisation du système de production 4.0 tout en s’appuyant sur les données et les informations provenant des équipements et des différents systèmes d'information.
- AMIGO
- Une infrastructure de Stockage et de Calcul (Plateforme historique PAGoDA)
PAGODA un ensemble d’outils et de services pour:
- Faciliter
- Le développement d’expérimentations
- L’accessibilité aux développements (interne : différents sites et tutelles ; externe : collaborateurs extérieurs, visibilité)
- La conformité des productions avec des principes non fonctionnels (qualité, principes FAIR, transparence, reproductibilité…)
- La diffusion, la publication et la valorisation (hébergement de jeux de données, de traitements, de démonstration, d’applications…)
- Maintenir un niveau de sécurité élevé
L'offre de services est orienté données (acquisition, stockage, traitement, analyse/visualisation, publication/valorisation, prescription/décision) utilisant principalement des technologies de Cloud Computing.
Son but est l'accompagnement des chercheurs pour la mise en œuvre de leurs expérimentations et leur valorisation en:
- renforçant la mutualisation et la centralisation des ressources pour réduire l’impact environnemental des expériences numériques. Elle vise notamment un achat groupé de ressources installées dans des datacenters hébergés par les tutelles du laboratoire et une suppression de serveurs individuels, isolés dans des bureaux non sécurisés et énergivores.
- généralisant l'utilisation de la conteneurisation pour la recherche axée sur la preuve numérique de concepts, composants de calcul simples, flux de travail ou même des applications à grande échelle. Cette adoption technique devrait encourager les chercheurs à rendre leurs travaux portables, répétables et reproductibles pour la communauté.
- facilitant la diffusion du savoir-faire du LIRIS, la publication et la visibilité de ses recherches par création de portails d'accès aux données de recherche, aux résultats, aux applications d'expérimentation et aux travaux collaboratifs.