Cinecast

Cinecast était un projet sur 3 ans (2009-2011) financé par le Fonds Unique Interministériel.

Présentation du projet

Partenaires

NETIA, Globe Cast, IRI/Centre Pompidou, Liris/CNRS, List/CEA, Telecom Paris Tech, Forum des Images, Cinémathèque française, BNF, BPI, INA, Univers Ciné, Exalead, VodKaster, lesite.TV, AlloCiné.

Motivations et contexte

L’ambition sociale et culturelle de ce projet est de faciliter de nouvelles formes d’accès aux films sur tous les supports numériques y compris la salle numérique à la carte en misant sur la dynamique sociale.

Pour y parvenir, le projet s’appuie sur une plateforme industrielle de diffusion des films et des métadonnées (infrastructure Globe Cast / Orange et outils d’indexation et de gestion de média de sa filiale NETIA) et développe des outils permettant de nouvelles formes de navigation, d’enrichissement de contenus et de partage de points de vue par le plus grand nombre. Cine Cast combine pour cela le savoir-faire éditorial et en matière d’ingénierie documentaire des principales bibliothèques de films françaises et du premier média social du cinéma Allo Ciné (1), des technologies d’analyse automatique de l’image (2), des outils d’ingénierie sociale (moteurs de recherche, technologies collaboratives) (3) et enfin de nouvelles interfaces d’annotation, de rendu et d’échange stimulant la création de nouveaux services et dès le démarrage du projet la création d’une start-up (4).

Les outils et services Cine Cast (détection automatique d’éléments du film, moteurs de recherche spécialisé cinéma, API Cinéma pour réseaux sociaux, éditeur de parcours critiques, gestionnaire de ses traces de navigation, jeux) stimulent de nouvelles expériences cinématographiques individuelles et collectives (ou d’individuation collective au sens du philosophe Simondon). De simples traces de navigation jusqu’aux productions critiques les plus élaborées seront échangeables – y compris via un réseau social type FaceBook - et resynchronisables avec les films dont dispose l’usager chez lui, d’une bibliothèque à une autre ou sur les sites de VoD, d’IPTV ou de vidéo collaborative. Tout ceci avec une bonne garantie d’interopérabilité de ce qui est produit quelque soit la version ou la qualité du film tout en tirant parti des droits d’accès très différents dont on peut disposer selon ces lieux et services.